2010
Sam
Page en cours de construction
Page en cours de construction
Des enfants arrivent comme par magie sur une île insolite, l’Île du Temps Perdu,
un endroit étonnant qui rassemble tout ce qui a été perdu sur Terre…
Ce conte mi-féerique mi-philosophique, progresse comme une flânerie, à des rythmes différents comme pour mieux éclairer son propos : l’art de prendre son temps.
Musique, livret et paroles : Christian Mesmin
D’après le roman de Sylvana Gandolfi
Interprètes : École Le Parc, CM1/CM2, enseignante Myriam Hackius
École Croix Rouge, CM2, enseignantes Christine Peix, Sylvie Le Moigne
Foyers clubs, service animation séniors, interprètes issus de la chorale
« Chœur à Cœur », direction Edith Kempa et Catherine Nectoux
Direction musicale : Aurélie Reybier
Chefs de chœurs séniors : Sandrine Baudey, Isild Manac’h
Compagnie « Teatro del Silencio » en résidence au théâtre Jacques Prévert
Metteur en scène : Mauricio Celedon – Assistante : Claire Joignet
Décor : Michel Arias – Lumières : Christophe Schaeffer – Costumes : Isabelle Huchet Assistante : Claire Belloc
Ensemble instrumental
Musiciens du Conservatoire à Rayonnement Départemental
Flûte : Gabriel Cauchemet, professeur : Isabelle Lenoir-Leret
Violoncelle : Clara Germond, professeur : Véronique Alvarez
Musiciens professionnels – Piano : Christian Mesmin – Percussions : Franck Steckar
Clarinette : Sandrine Bronchain – Régie Générale : Guy Bourboulon
Une commande du CRÉA, centre de création vocale et scénique
Création mai 2015 – théâtre Jacques Prévert d’Aulnay
Coproduction CRÉA – théâtre Jacques Prévert
Notre héroïne arrive la plage à vélo et part à l’aventure ! « Tatalala moi les châteaux forts, toutouloulou d’un seul coup de pied je les ravage ! » Et voilà qu’une folle journée commence pour cette petite fille intrépide qui grâce à un étrange coquillage et à son petit carnet secret emplit de mots inventés va trouver la formule magique pour parler aux poissons !
Musique : Roland Seilhes – Livret : Jérémie Boucris
Choeur d’Éveil – Direction artistique, musicale : Aurélie Reybier
Assistante : Sandrine Baudey
Costumes : Isabelle Pasquier – Assistante : Claire Belloc
Piano : Christian Mesmin – Flûte, Saxophone, Clarinette : R. Seilhes
Voix, guitare, percussions : Jerem
Un spectacle du CREA, centre de création vocale et scénique
Création 22 juin 2013 – Théâtre Jacques Prévert d’Aulnay-sous-Bois
Coproduction CRÉA – Jacques Prévert, théâtre d’Aulnay-sous-Bois
Conte musical de 17 chansons commandé à Michèle Bernard.
Auteure, compositrice et interprète, Michèle Bernard distille depuis plus de 35 ans de sa voix limpide des textes poétiques, subtils, des compostions touchantes pour petits et grands.
Conte musical de Michèle Bernard – Arrangements : Jean-Luc Michel
D’après « Poirier Proche », un recueil de poésie de Jean-Claude Touzeil
Interprètes : Chœurs d’Éveil et de l’Avant-Scène
Direction musicale : Sandrine Baudey et Isild Manac’h – Assistant : Alexandre Vuillermoz
Décor : Antoine Millian – Costumes : Isabelle Pasquier – Assistante : Alice Laforge
Lumières : Catherine Ngomanga
Piano, bande son : Christian Mesmin – Clarinette : Clément Caratini – Contrebasse : Christophe Devillers
1 / OUTIL PÉDAGOGIQUE POUR LES ENSEIGNANTS :
Un Poirier m’a dit est disponible à destination de tous les enseignants sur MUSIQUE PRIM, le portail en ligne dédié à l’éducation musicale à l’école primaire. Cette édition est le fruit d’un partenariat avec l’Académie Musicale de Villecroze, l’Education Nationale et le Réseau Canopé.
Contenu :
– Pistes audio (chants, bande orchestre, apprentissage)
– Partitions (chant, piano chant, arrangements originaux)
– Livret complet (chants et textes narratifs)
– Dossier pédagogique (présentation, fiches)
– Pistes de travail et vocalises du CRÉA.
Informations sur : MUSIQUE PRIM
2 / CD ET PARTITIONS POUR LE GRAND PUBLIC :
Livret de partitions (112 pages) + disque audio
Contenu : Partitions + 18 chansons + playback orchestre (PBO)
+ pistes de travail + vocalises + textes narratifs + un atelier créatif
DISPONIBLE AU CRÉA
3 / VIDÉO DE LA CRÉATION ET CONSEILS :
La vidéo de la création est à consulter au CRÉA sur prise de rendez-vous par mail auprès de notre
Pôle de Ressources.
Michèle Bernard en parle
« N’étant pas librettiste, j’ai d’abord voulu m’inspirer d’un conte existant, et puis je suis tombée sur
un petit recueil de poèmes intitulé « Poirier proche », écrit par Jean-Claude Touzeil, un poète qui me
touche beaucoup. Chaque poème est consacré au poirier qu’il voit de la fenêtre de sa maison. Petit sujet me direz-vous, mais qui permet curieusement de parler de toutes les choses de la vie. J’aime ça : partir du quotidien le plus banal pour en extraire la poésie et le sens caché. Ici, pas de héros flamboyant, pas d’actions extraordinaires, je suis bien consciente que cette démarche est un peu « décalée »,
mais c’est encore un pari… »
POUR ALLER PLUS LOIN :Entretien avec Michèle Bernard sur le BLOG du CRÉA :
Mentions
Une commande du CRÉA, centre de création vocale et scénique créé pour la première fois les 29 et 30 mai 2015 au théâtre Jacques Prévert d’Aulnay-sous-Bois. Coproduction CRÉA / Théâtre Jacques Prévert d’Aulnay-sous-Bois
Au sein d’une colonie de vacances des années 60, des enfants ont élu un souffre-douleur : Hubert, un garçon il est vrai assez secret et un tantinet méprisant pour les autres avec qui il s’ennuie. Les brimades sont parfois sévères, mais aucun des enfants n’a conscience du réel drame que vit leur tête de turc considérée comme « l’intello ». Jusqu’au jour où Hubert disparaît. Toute la nuit on le cherche pour le retrouver enfin, à l’aube, dans le coma. L’enfant a tenté de se suicider. Consternation, chagrin, prise de conscience… Très vite ses trois tortionnaires deviennent à leur tour la cible de menaces anonymes, de punitions…
Deux clans se distinguent alors : ceux qui prennent la défense des trois nouvelles victimes et ceux qui estiment qu’ils l’ont bien mérité. A l’insu des monos, les clans se murent de plus en plus dans leur certitude. Un des colons, aveugle, tente de les faire réfléchir, mais sans succès. Des joutes secrètes et assez risquées se mettent en place et l’on sent venir un nouveau drame. Le malaise va inévitablement exploser…
MUSIQUE : Coralie Fayolle – LIVRET ET PAROLES : Isabelle Huchet
Chœur de Scène
Direction Musicale : Didier Grojsman
Mise en scène : Christian Eymery – Chorégraphie : Anne-Marie Gros
Décor : Natacha Le Guen de Kerneizon – Costumes : Isabelle Pasquier
Lumières : Marie-Hélène Pinon – Son : Laurent Dujarric
Assistants : Lucie Joliot (lumières) Germain Peronne (décor)
Régie générale : Guy Bourboulon
Musiciens
Piano : Bruno Perbost – Clarinette : Sandrine Bronchain – Hautbois : Jean-Marc Liet
Contrebasse : Eric Chalan – Trombone : Eric Louis – Accordéon : Frédéric Jaupart Percussions : Franck Steckar
Une commande du CRÉA, d’Aulnay-sous-Bois
Coproduction CRÉA – Théâtre Jacques Prévert d’Aulnay-sous-Bois avec le concours de la Spedidam*
*La Spedidam est une société de perception et de distribution qui gère les droits des artistes-interprètes en matière d’enregistrement, de diffusion et de réutilisation des prestations enregistrées.
Création
THÉÂTRE JACQUES PRÉVERT D’AULNAY-SOUS-BOIS
1er, 2, 3 octobre 2010 – Scolaires les 5, 7 octobre 2010
« Ils chantent comme on respire. 37 adolescents de 10 à 18 ans rassemblés pour créer un opéra moderne composé spécialement pour eux. Trois fois par semaine, ils se retrouvent pour répéter. Didier, c’est le directeur du CRÉA d’Aulnay-sous-Bois, une association financée par la mairie où l’on part du principe que la culture n’est pas le pré carré des privilégiés et des enfants des beaux quartiers. Alors, ici tous les jeunes chanteurs viennent
d’Aulnay-sous-Bois ou des environs. Pour rentrer dans la chorale, aucune sélection, pas d’audition : il suffit d’en avoir envie. Depuis un an, les ados travaillent avec des professionnels du spectacle (metteur en scène, chorégraphe, etc.). C’est le soir de la première et cet opéra, c’est l’histoire d’une colonie de vacances dans les années 60.
Les scènes s’enchaînent sans fausses notes. Nedjma maîtrise et comme toujours Didier assure. Philippe a bien eu un gros coup de fatigue, mais Didier et les gamins d’Aulnay-sous-Bois ont gagné leur pari : donner à leur banlieue pour un soir la voie d’une jeunesse pleine de promesse… »TF1 (Magazine 7 à 8 octobre 2010)
« Des sales mômes pour un bel opéra, le résultat est bluffant, professionnel ! »
LE Parisien (Octobre 2010)
« C’est une jolie colonie de vacances, de celles qui ont permis à toute une génération de gosses des villes, après guerre, de découvrir les joies de la nature et de la collectivité. Tout le monde en bermuda, en rang d’oignons derrière les moniteurs ! Vive les loisirs de plein air, les veillées-guitare autour du feu, les premiers baisers, et les boums où l’on jerke au son des vedettes. Salut les copains ! Tous égaux et tous contents, youkaïda? Si robes vichy, transistors, et autres clins d’oeil rétro abondent, il ne faut pas se fier à ce vernis nostalgique : « Les Sales Mômes » ne sauraient être confondus avec la « Fièvre des années 60 », et autres pastiches » bon vieux temps » à la Roger Louret. D’une part, parce qu’il est clair que l’équipe du CRÉA a de ces années pré-68 la vision sans complaisance d’une jeunesse un peu étriquée, en manque d’autonomie, sur tous les plans, par rapport aux enfants d’aujourd’hui. D’autre part, parce qu’à travers l’histoire d’Hubert, du rejet dont il est l’objet et des passions que ses différences déchaînent au sein de la colo, ce sont des problématiques contemporaines qui sont visées. Quels sont les mécanismes de l’exclusion? Quels sont les ressorts par lesquels des personnes plutôt sympathiques peuvent, sous l’influence d’un petit groupe pervers, et à la faveur de la passivité de leurs dirigeants, se transformer en meute sans pitié ? Création originale, « Les Sales Mômes » a été composé sur mesure pour 37 enfants et adolescents du CREA, qui se le sont parfaitement approprié en un an de travail intensif. Fidèle à la sensibilité de la maison, il est très axé sur le chant choral, et offre des moments superbes, parfois sombres, ou vire à la comédie musicale enjouée. Les enfants-chanteurs sont parfaitement à leur aise dans tous les répertoires, soutenus par une formation musicale pleine d’humour et que l’on sent passionnée par le projet. On en redemande ! »
THÉÂTREENFANTS.COM